“Pourquoi vous faites ça même ?
Sur 87.095 bacheliers, 69.332 ont demandé une orientation dans une Université Publique soit 79,61% du nombre total de bacheliers.
Chaque demandeur des 69.332 a payé la somme de 10 000 F CFA, en ligne, pour la pré-inscription qui précède les orientations.
Alors ça donne ça :
69 332 *10 000 FCA = 693 320 000 FCA.
De combien avions-nous besoin pour créer une plateforme de pré-inscription pour les orientations en ligne ?
Rien du tout !
Gnamien Konan nous a démontré dans ce pays que cela était possible quand il était ministre de l’enseignement supérieur.
Il a fait juste une conférence de presse pour dire que la pré-inscription pour les orientations en ligne était gratuite. Nous croyions tous à une chimère. Mais que non .
La plateforme a été créée sous le contrôle assidue du Ministre Gnamien Konan lui-même, jusqu’au déploiement sur internet.
Ensuite, il reçoit les présidents des universités et pratonnat des écoles privés pour avoir les critères d’orientation et rentrer tous ces paramètres dans le programme.
Il valide l’algorithme avec toutes les parties prenantes et laisse le système se charger en toute clarté de l’orientation.
Les gens ont même payé des hackers pour pirater la plateforme par deux fois. Mais les informaticiens déployés ont réussi à garantir la continuité de service 24h/24 jusqu’à la fin de l’opération.
Ça n’a rien couté.
Les informaticien du ministère, payés par l’Etat de Côte d’Ivoire, sous la direction de Gnamien Konan ont monté la plateforme et l’ont mis en oeuvre.
Les bacheliers n’ont pas payé 10 000 FCA par tête .
Ces faits sont vérifiables et les acteurs sont encore vivants .
Merci Gnamien Konan.
GNAMIEN Konan, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.( 2014-2016) , supprime la pré-inscription pré-orientation.
A partir de 2016, ses successeurs respectifs BAKAYOKO-LY Ramata , Abadallah Albert M’abri, Adama DIAWARA ont réinstauré la pré-inscription pré-orientation de 10 000 FCA par bachelier.
*Les chiffres évoqués sont ceux du ministère de l’enseignement supérieur.”
Merci M.Bouanzi Taki pour cet éloquent témoignage.
Assayie.net